Harry Potter, le garçon qui a survécu …
Synopsis :
Dans l’univers de la sorcellerie, une guerre impitoyable oppose les forces du Bien et du Mal. Les enjeux n’ont jamais été aussi élevés, les périls plus présents que cet ultime combat. Nul n’est à l’abri, mais c’est Harry Potter qui sera sans doute amené à faire le plus lourd sacrifice dans son dernier face-à-face avec Lord Voldemort.
Les Livres :
J’ai découvert Harry Potter en 2001, juste avant l’été pour être précis. Je connaissais déjà le nom ce petit sorcier à la cicatrice et rempli d’épis par de nombreux reportages et articles survolés sur le sujet. Le plus gros succès littéraire de la décennie, un compte de fée pour l’écrivain J.K Rowling. Ce genre d’histoire ne m’emballait pas trop et puis je ne voulais pas ressembler à tous ces moutons moi mais j’allais le lire (juste) le premier puisque l’adaptation débarquait à la fin de l’année.
J’avoue y avoir été à reculons, je parle d’acheter le premier livre, les films j’y reviendrais plus tard. Commençant ma lecture je suis rentré dans un monde dont on sort difficilement, la Pottermania. Le 1er fut terminé en 2 jours, j’achetais le jour suivant les 2èmes et 3e tomes. Terminés en moins d’une semaine, je me devais acheter le 4, c’était obligé ! Mais il venait de sortir (décembre 2000) et n’était pas disponible en livre de poche (oui j’étais jeune j’avais pas de boulot, ni de font illimités), qu’importe mes finances (je soudoyais ma mère, une future fan) j’achetais le 4e alors que je n’avais même pas fini le 3e. Ce qui caractérise le fan d’Harry Potter c’est qu’il doit terminer son livre coute que coute, j’étais fichu, il ne me restait plus de tomes à lire et en PLUS il fallait attendre la fin de l’année pour voir l’aventure commencer sur grand écran.
Et oui, ce qui caractérise aussi un fan d’Harry Potter c’est aussi d’être patient. Attendre le 5e tome, le 6e puis le 7 ! Attendre 1 ans puis presque 2 entre les films. Attendre la traduction Française, 6 mois plus tard. Oui à partir du 6e (Le prince de sang-mêlé), armé d’un dico et de plein de bonne volonté, je les ais lu en anglais parce qu’on me l’a fait pas, pas de raison que ces british le lisent avant moi, surtout que bon les spoilers ça va 5 min sur les forums mais après ça soule. Oui parce que vous croyez qu’un fan se limite aux livres et aux films, nooon, il lui faut en discuter sur des forums et évidement les meilleurs sont anglais, ceux qui savent tout sur tout. L’anglais était donc une notion élémentaire pour bien débuter sa Pottermania, mine de rien je pense qu’une génération entière, en plus de lire, a progressé en anglais grâce à J.K, bravo Harry.
A partir du 5e qu’on avait tant attendu (plus de 2 ans) j’eu une baisse de régime, à 20 ans je commençais à penser qu’Harry n’était plus de mon âge et puis il faut dire qu’il était plutôt casse pied dans ce tome le Harry, trop ados à mon gout et toujours en train de se plaindre. Mais le naturel revenant au galop (et une fille fan de HP avec qui j’étais sorti…) j’achetais le 6 en anglais et là tout reparti, ma fan-attitude et théories y compris. De plus le récit allait en se durcissant devenant de plus en plus sombre à partir du 4e avec le retour de LV (ah oui j’espère que vous êtes au courant qu’il est de retour Tom Jedusor parce que sinon j’sais pas trop ce que vous fichez ici…), le 6 avec la mort d’un des personnage les emblématique de la saga, Dumbledore. Le 7e avec tous les enjeux, qui allaient être résolu, enfin nous allions avoir la fin… l’embêtant avec Harry c’est que j’ai jamais voulu que ça termine finalement, j’étais bien dans l’univers avec les blagues de Ron le caractère d’Hermione et les idées stupides d’Harry. Heureusement qu’ils nous restaient les films.