Un livre qui m’intrigue. Le dessin de Edward Carey me fait penser à la Triste fin du petit enfant huitre de Tim Burton.
Synopsis:
Au milieu d’un océan de détritus composé de tous les rebuts de Londres se dresse la demeure des Ferrayor.
Le Château, assemblage hétéroclite d’objets trouvés et de bouts d’immeubles prélevés à la capitale, abrite
cette étrange famille depuis des générations. Selon la tradition, chacun de ses membres, à la naissance, se
voit attribuer un objet particulier, dont il devra prendre soin toute sa vie. Clod, notre jeune héros, a ainsi reçu
une bonde universelle – et, pour son malheur, un don singulier : il est capable d’entendre parler les objets,
qui ne cessent de répéter des noms mystérieux…
Tout commence le jour où la poignée de porte appartenant à Tante Rosamud disparaît ; les murmures des
objets se font de plus en plus insistants ; dehors, une terrible tempête menace ; et voici qu’une jeune
orpheline se présente à la porte du Château…
Premier tome d’une trilogie superbement illustrée par l’auteur, Le Château nous plonge dans un univers pareil
à nul autre, fantasmagorique et inquiétant, gothique et enchanteur. Edward Carey y révèle des talents de
conteur, de dessinateur et de magicien qui font de lui le fils spirituel de Tim Burton et de Charles Dickens.
Informations:
- Auteur: Edward Carey
- Traduit de l’anglais par Alice Seelow
- Parution : 11/03/2015
- Editeur: Editions Grasset
- Collection : Littérature Etrangère
- Pages : 464
- Format : 140 x 205
- Prix : 22,00 € TTC