L’un des plus beaux romans de mon année 2013 est signé John Green: Nos étoiles contraires. Il m’a retournée. Je suis tombée sous le charme de ses deux héros: Hazel et Gus. Le tournage a débuté en août 2013. Le studio 20th Century Fox a confié la réalisation du film au cinéaste Josh Boone. Le scénario est signé par Scott Neustadter et Michael H. Weber.
Hazel est interprétée par Shailene Woodley et Gus par Ansel Elgort. A leur côté, nous retrouverons William Dafoe dans le rôle de l’écrivain préféré de la jeune fille. Les parents de cette dernière sont joués par Laura Dern et Sam Trammell (True Blood).
En attendant de retrouver le film en salle, plongez-vous dans le délicat récit de deux adolescents touchés par le cancer, d’un amour et d’une amitié qui signe une magnifique déclaration à la vie. Le roman de John Green est disponible aux Editions Nathan (lecture conseillé dès 14 ans et avec une tonne de mouchoirs à portée de mains).
Synopsis:
Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu’elle s’y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d’autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature.
Entre les deux adolescents, l’attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
J’ai plus qu’adoré ce livre, je l’ai lu, relu, dévoré même! Il m’a fait pleuré comme rire, malgré les larmes je me suis régalée.
Quand j’ai vue le livre dans la bibliothèque d’un magasin j’ai de suite sauté dessus car il m’a attiré l’yeux et je ne me suis pas trompé!
Et grâce à ce livre je continuerais à lire les autres romans de John GREEN.
Je suis moi-même née avec une maladie ou il faudra m’opéré dans 1 an et ce livre m’a montré que même si je ne plus faire ce que je veux après mon opération il y aura toujours des personnes autour de moi pour m’aider à vivre. Même avec une maladie, et si on croit qu’on en a finit avec notre vie, il faut ce battre et continuer pour prouver notre combat!