Synopsis:
Les Boxtrolls est une fable qui se déroule à Cheesebridge, une ville huppée de l’époque victorienne, dont la principale préoccupation est le luxe, la distinction et la crème des fromages les plus puants. Sous le charme de ses rues pavées, se cachent les Boxtrolls, d’horribles monstres qui rampent hors des égouts la nuit pour dérober ce que les habitants ont de plus cher : leurs enfants et leurs fromages. C’est du moins la légende à laquelle les gens de Cheesebridge ont toujours cru. En réalité les Boxtrolls sont une communauté souterraine d’adorables et attachantes créatures excentriques qui portent des cartons recyclés comme les tortues leurs carapaces. Les Boxtrolls ont élevé depuis le berceau un petit humain orphelin OEuf, comme l’un des leurs, explorateur de décharge et collectionneur de détritus mécaniques.
Ils deviennent soudainement la cible d’un infâme dératiseur Archibald Trappenard qui voit dans sa disposition à éradiquer les trolls son ticket d’entrée au sein de la bonne société de Cheesebridge. La bande de bricoleurs au grand coeur doit alors se tourner vers celui dont ils ont adopté la responsabilité, ainsi qu’une jeune fi lle de la haute qui n’a pas froid aux yeux, Winnie afin de concilier leurs deux mondes, au gré des vents du changement… et du fromage…
Mon avis:
Ma note:
8/10
Informations:
- Date de sortie 15 octobre 2014
- Durée: 1h37min
- Distributeur: Universal Pictures International France
- Réalisateurs: Graham Annable, Anthony Stacchi
- Avec en VO: Isaac Hempstead-Wright, Ben Kingsley, Simon Pegg
- Genre: Aventure , Famille , Animation , Fantastique
- Nationalité: Américain
De la littérature au cinéma (source Allociné)
Secret de tournage sur Les Boxtrolls
Les Boxtrolls, ces petits trolls collectionneurs de déchets, sont en réalité des monstres habillés de cartons recyclés tout droit sortis de l’imagination de l’auteur et dessinateur anglais Alan Snow et parus pour la première fois en 2006 dans son roman d’aventures fantastiques « Les Chroniques de Pont-aux-Rats (Here Be Monsters) ». L’enfance de Travis Knight, président de Laika, fut bercée par ces histoires, d’où le désir de les adapter.