[Avis] Transformers : l’âge de l’extinction de Michael Bay

Synopsis:

Quatre ans après les événements mouvementés de « Transformers : La Face cachée de la Lune », un groupe de puissants scientifiques cherche à repousser, via des Transformers, les limites de la technologie.
Au même moment, un père de famille texan, Cade Yeager, découvre un vieux camion qui n’est autre qu’Optimus Prime. Cette découverte va lui attirer les foudres d’un certain Savoy, dont le but est d’éliminer les Transformers. Pendant ce temps, le combat entre les Autobots et les Décepticons refait surface…

Avis:

No Pain No Gain n’avait pas conquis mon coeur. (Attention aux pierres). Transformers: l’âge de l’extinction sans être parfait a en son sein plusieurs atouts. Imparfait. Inégal. Mais…
Voilà, j’ai été bluffée. Un vrai régal visuel. Je ne suis pas une adepte de la 3D. Et j’avais une grosse crainte de ressortir des presque trois heures avec une migraine carabinée, j’ai eu la rétine qui a eu des étoiles. Les

Alors, oui, par moments, l’impression d’avoir des pauses se ressent. Comme un petit espace pour reprendre son souffle. Le film aurait pu être scindé en deux volets. Les dialogues sont savoureux, drôles, pimentés. Le côté ironique, assumé ou non de certaines phrases comme dans le vieux cinéma avec les reboot et les suites… Je vous laisse les découvrir.

Les explications de la disparition des dinosaures excellentes. Les nouveaux arrivants percutent, gagnent des galons. Remarquez après Shia Leboeuf, il n’y avait pas vraiment de quoi faire pire… (Avec toute ma tendresse que j’ai pour les premiers Transformers, le charme ne repose pas sur son personnage principal humain… loin de là…). Michael Bay utilise son talent avec brio, il explose les effets spéciaux, rend les Transformers vivants. Ses acteurs sont tops. Bon, je suis une vendue, je craque complètement pour Mark Wahlberg. -Depuis les New Kids on The Block- néanmoins j’ai nettement préféré cette performance à celle de No pain no gain. Le comédien campe un père attendrissant, élevant seul sa fille, un inventeur un peu loufoque avec des muscles. Le côté action man lui colle à la perfection à la peau. L’arme du héros semble sorti de Stargate. Et le méchant m’a fait penser à Galactus. (Ne cherchez pas c’est tordu le parallèle).

Stanley Tucci et Nicola Peltz (si vous voulez voir un des shorts les plus petits de l’univers… une actrice au sourire éclatant, vous serez servi… dynamique, pétillante… pas la jeune fille sans répliques mais pas non plus la tête de liste… en même temps le jours où une femme sera en héroïne dans un Transformers n’est pas encore arrivé. Si???) marquent le duo jeune du film. Les échanges entre le père Cade, la fille Teresa et le petit ami emportent dans son sillage son lot de pépite. Le plaisir coupable de voir Stanley Tucci et Titus Welliver, tire une bouffée de joie.

Que dire des Transformers? Une refonte. Une nouvelle vague. De nouvelles règles. De nouveaux visages. L’équipe des Autobots devient un rêve de gosse sur grand écran. Mes yeux ont été ravis. Mon esprit moins. Il a eu des frissons, des coups de coeur pour revenir en arrière l’instant d’après. Un petit tourbillon émotionnel qui pourtant a su séduire une partie de mon âme. La bande son a appuyé les montées d’adrénaline. Elle est délicieuse pour les oreilles.

Pour la petite note, pour la première fois, je me suis mise à penser devant le film que les Transformers plairaient à mes garçons. Pas le vieux dessin animé, non, cette version de Bay. Le design des Autobots, des Dinobots et des robots modifiés claquent. J’avoue avoir eu une préférence pour les versions Optimus Prime, Bee… et les transformations ou évolutions… hum…

Note:

7,5/10

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